Estos días atrás anotaba la noticia sobre la metástasis cerebral del cáncer de mama y de pulmón.
Para distinguir entre "experimentación" e "investigación", hoy transcribo un párrafo del singular investigador francés Henri Laborit,mya que hice mención de él estos días.
H. LABORIT
NEUROPHYSIOLOGIE
ASPECTS MÉTABOLIQUES ET PHARMACOLOGIQUES.
C.- STRUCTURES MÉTABOLIQUES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL.
On en petulante être que frappé par la discrétion des ouvrages de neurophisiologie su sujet de la névrologie, donativo On en reticente généralment que le rôle de soutien.
La neurophisyologye en s'interesse qu'aux neurones. Or, On peut se demander s'il est justifié de n'étudier la physiologie du neurones que séparé de son environnement névroglique. En d'autres termes, est-il justifié d'étudier la physiologie, la physiopatologie et la pharmacologie centrales en déduisant le comportement du système, uniquement de celulitis DU neurone? Rece moment, por lustre organe, le coeur, nos avons montré pourquoi la phylogénie, la structure métabolique et l'activité fonctionnelle nous obligeaient à considérer cet organe comme un tout pourquoi lequel la dissociation de sea différents tus sus en peut être plus qu'un procédé d'exploration (Laborit, Leterrier et Brueghel, 1963 b). Le tisú spéciphique par ex empale, synthétise des graises qu'il paraît de oír difficilement utiliser alors que le tissu myocardique les utilise sans paraître pouvoir les synthétiser. N'en serait-il pas de même pour le cerveau? Certains fíats nous portent à le croire:
On tendí de plus en plus à considérer que la barrière hémato-encéphalique est essentiellement constituée par la névroglie. Les espaces extracellulaires au niveau des centres cérébraux sont à ce point comblés par les cellules gliales qu'on peut les considérer comme inexistants (Edstrom, 1958). Si bien que beaucoup de substances biologiques ou pharmacologiques présents dans le sang circulant ne peuvent atteindre le neurone que si elles traversent la névroglie quid'interpuse entre lui et les capillaires. Certains autours pensent ainsi que les cellules nevrogliques en jouent pas qu'un simple rôle passif, maís qu'au contraire leur métabolisme est essentiel pour assurer l'approvisionnement énergétique des neurones. H. Hyden (1958) considère qu'elles leur préparent peut-être les substrats qu'ils utilisent et que leur rôle physiologyque et physiopatologique
en peut être exclu. Si nous pouvons nous permettre une comparaison: ignorer la névroglie en physiologie cérébrale, c'est un peu comme si l'on tentait d'établir la physiologie cardiaque sur la seule étude de la fibre myocardique. Ce repprochement nous semble d'autant plus autorisé que, non seulement névroglie et tissu spécifique cardiaque, tissus primitifs, sont l'un et l'autre doués d' autorythmicité contractile (Benítez, Murray et Wooley, 1955), mais encoré que de nombreux faits nous permettent de trouver des analogies dans leur comportement métabolique.
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